Je rapporte ici volontiers cette entretien de Jane Goodall effectuée par la journaliste Chloé Gurdjian pour le compte de Géo.
Voir l'entretien sur actu.geo.fr
Disponible ici au format pdf.
Faut-il rappeler aux plus jeunes d'entre nous que Madame Goodall a vécu de nombreuses périodes ou années auprès des chimpanzés d'Afrique ?
Cette sorte de promiscuité lui a permis de comprendre la grande sensibilité et la grande intelligence d'un animal très proche de nous qui a su se contenter de vivre dans la forêt sans jamais la détruire.
Clairement Madame Goodall nous rappelle que nous humains faisons partie du monde animal et que nous aurions plus que jamais besoin de remettre les pieds sur terre pour éviter la destruction de notre environnement et la perte de biodiversité mettant en péril l’humanité.
Vu l’ampleur des destructions humaines qui se perpétuent dans les guerres économiques et en particulier dans les guerres militaires (Ukraine, Moyen Orient, et pas que), il semble qu’il soit déjà très tard pour réagir aux dangers qui nous menacent.
L'indigence intellectuelle des dirigeants politiques ou affairistes actuels ne permet pas d'entrevoir une saine réaction prochaine.
Espérons néanmoins que les jeunes générations sauront se révolter contre cet état délétère et parer au pire.
S’il faut mourir un jour, ce qui nous arrivera forcément vu notre origine d’animal vivant, qu’au moins nous soyons conscients, lucides de nos mauvaises actions, et ne quittons point cette terre, cet ancien Eden, ignorants ou imbéciles.
Edité le:26/10/2024