Nous avons perdu de très nombreuses libertés, ces dernières années.
Qui peut affirmer que toutes les libertés suivantes sont toujours pleinement assumées ?
Liberté de penser, de s’exprimer, de s’instruire, de se divertir, de se déplacer, d’agir, de se soigner, de manger ou boire, d’acheter ou d’acquérir, de refuser, de vivre et mourir !

5. La liberté de se soigner

Sommes nous bien libres de nous soigner, comme nous l'entendons, comme nous le souhaitons, comme nous le pouvons ? A vrai dire, tant que nous sommes bien portants, pas de problème ! Nous pouvons nous soigner, nous bichonner, nous aimer sans soucis. Les us et coutumes autorisent beaucoup de choses et la loi semble peu contraignante. Mais dès que les pathologie surgissent, la liberté de se soigner comme bon nous semble, s'atténue fortement et peut même devenir une réelle contrainte.

La vaccination a permis de se protéger de maladies contagieuses terribles. Grâce à celle-ci, on a pu diminuer fortement la mortalité infantile. Du coup, les gouvernements ont instauré la vaccination obligatoire pour les très jeunes enfants. Au début quelques vaccins seulement, à ce jour onze vaccins sont devenus obligatoires.
Ces vaccins, une seule fois par jeune enfant ont un coût et sont une part non négligeable des profits réalisés par les laboratoires pharmaceutiques.

La grippe est une maladie bénigne le plus souvent, grave voire mortelle surtout pour des personnes âgées et fragilisées par une maladie dégénérative. Ces mêmes labos ont donc inventé un vaccin contre la grippe. Ils en ont fait la publicité, bien relayés par les médecins et même par la Sécurité Sociale. Ce vaccin n'a pas du tout la même efficacité que les vaccins infantiles et doit être revouvelé chaque année. Une vraie manne pour les labos !
Certes nous ne sommes pas obligés de faire ce vaccin, mais les plus inquiets d'entre nous n'osent le refuser.

Le Covid, ressemble beaucoup à la grippe de par ses symptomes; il serait plus grave, plus létal.
La réaction du corps médical face à cette nouvelle maladie a été déplorable. Certains médicaments bon marché semblaient marcher un peu: ils ont été interdits. D'autres horriblement chers et inadaptés ont été proposés. Les médecins généralistes ont été déchargés au profit des hôpitaux publics, vite dépassés par le nombre des malades. Cette concentration a sans doute renforcé la contagion. Les gens les plus avisés ont tenté de renforcer leurs défenses immunitaires. Les gouvernements ont instaurés le confinement, le couvre feu, des restrictions nombreuses afin de limiter la contagion.
Les labos ont saisi la balle au bond; ils ont mis au point en un temps record absolu, le vaccin contre le Covid !
Bien que le Covid n'ait pas un degré de mortalité élevé si on le compare à la tuberculose, la diphtérie, le tétanos, etc ..., les gouvernements de plusieurs pays ont acheté le vaccin à prix d'or et en grande quantité afin de vacciner toute la population si possible !

Cette fois c'est clair: la liberté de nous soigner est bafouée ! Pire, ne pas accepter cette vaccination serait quasi criminel dans la mesure où nous ferions courrir le risque de contagion des autres !

A l'inverse, les médicaments homéopathiques qui semblent avoir quelqu'effet même si on ne sait l'expliquer rationnellement, vont être interdits. Les gels, les crèmes, les produits de soins divers et variés, pas toujours très sains, sont eux, en vente libre !

Le système économique néo-libéral est moribond; mais il vient de faire naître une nouvelle bulle financière: des centaines de millions de vaccins, à refaire chaque année, n'en doutons pas, qui vont rapporter des dizaines de milliards aux labos et à leurs actionnaires ! Elle est pas belle la fondation et la retraite de Bill Gates ?

Bon, je peux toujours faire mon footing, quelques exercices physiques réguliers chez moi comme renter du bois de chauffe. Je peux encore me soigner à ma façon. Mais pour combien de temps ? Il paraît qu'un pays a déjà inventé la "carte du vacciné" qui sera demandée pour accéder au cinéma, au théâtre, pour prendre l'avion, aller travailler, ...

La liberté de se soigner par notre entendement, par notre bonne volonté est en train de disparaître; ici encore, le soin devient codifié et mercantilisé !
L'important n'est plus de guérir le malade, l'important c'est de lui vendre très régulièrement une dose, un reméde qui le maintienne en dépendance des labos. J'appelle ça la médecine Nespresso !

La médecine n'est pas et ne sera jamais une science exacte. Vouloir la réduire à cela, c'est la déshumaniser ! C'est sans doute ce qui démotive et explique en partie que les médecins généralistes se font de plus en plus rares !
La Sécurité Sociale perd son sens; elle ne sécurise plus, elle fragilise le patient ! Triste constat !

A suivre: La liberté de manger ou boire