Ce matin, sur France Inter j’ai écouté votre interview suite à la parution de votre dernier ouvrage intitulé « Noir » et publié chez Albin Michel. Cet ouvrage parlant de la mort est en fait une invitation à vivre.
Citons quelques uns de vos propos : "La vie c’est la mort. La mort c’est la vie. La vie est éphémère. La mort est l’aphrodisiaque de la vie qui incite à vivre intensément. Risquer sa vie est une mise en jeu pour se dire qu’on aime cette vie. J’aime la vie. S’éterniser, c’est hideux, c’est une aberration."
Indirectement vous avez condamné les mesures technocratiques prises à l’encontre du virus Covid. En effet celles-ci, par les gestes barrières parfois excessifs, le confinement, la vaccination quasi-obligatoire ont sans doute protégé les gens et réduit la mortalité.
Mais à quel prix !
Ces protections ont isolé les gens, les ont parfois monté les uns contre les autres, ont détruit la joie et l’intensité de la vie. Comme vous l’avez dit, à vouloir se protéger du risque de mourir, on ne vit plus naturellement, intensément, et en réalité on meurt déjà à petit feu !
Quel plaisir d’entendre votre opinion, très différente de la morosité habituelle des médias. C’est pourquoi je relaie volontiers vos propos sur mon blog.
Edité le:12/05/2022