Les très riches

J’en ai connu un durant quelques heures, sur l’île d’Ibiza.
Il s’appelait Victor Elbaz. Il avait loué durant un mois tout un hôtel avec piscine, deux courts de tennis et une plage privée.
C’était l’importateur exclusif au Maroc, de grandes marques comme les voitures Volkwagen, le chocolat Vanhouten et deux autres exclusivités dont j’ai oublié le nom. Victor fréquentait le roi du Maroc.
C’était en 1987 que j’ai déjeuné avec Victor.
J’ai tenté de discuter avec lui. Mais j’ai compris l’énorme distance de conception du monde et de la vie qui existait entre nous.
Moi, je parlais de connaissances, de compétences, de savoir faire de préférence adaptés à notre environnement.
Lui, ne recherchait que des hommes ambitieux dont il financerait l’action pourvu qu’elle soit en phase avec sa volonté et qu’au final cela lui rapporte.
Que ce soit bien ou mal, moral ou pas, désastreux pour l’humanité ou non, ne lui importait probablement pas beaucoup.
Sa règle était simple : j’ai une idée, je la crois bonne et fructueuse. Je la fais développer par un meneur d’hommes dans lequel j’ai confiance. Et j’apporte tous les capitaux nécessaires pour la réussite de mon idée.

Hier, j’ai revu le film « The constant gardener » qui relate la lutte inégale menée par une militante altermondialiste contre les méfaits de grands laboratoires pharmaceutiques en Afrique.

J’ai fait le rapprochement entre Victor un très riche comme Bill Gates, Elon Musc et bien d’autres que je connaîtrais jamais.
Ces très riches ont des idées qu’ils croient bonnes dans la mesure où elles devraient leur rapporter beaucoup et accroître leur notoriété ou leur puissance.
Bill Gates subventionne fortement l’OMS, c’est notoire.
Il apporte aussi des capitaux à de grands laboratoires pharmaceutiques. Il rémunère indirectement des experts en recherche médicale ambitieux et sans éthique.
Il ne faut donc pas être surpris que les produits vendus forts chers par ces entreprises multinationales puissent être malfaisants pour la population mondiale.
A force de propagande, ces multinationales font croire que leurs médicaments ou soi-disant vaccins sont efficaces et préservent les gens de graves épidémies.
En réalité, leurs produits sont d’abord et avant tout des revenus énormes qu’ils sont prêts à maintenir par tous les moyens y compris illicites et malhonnêtes.
Normal ! Ces grands labos sont dirigés par les hommes ambitieux choisis par les très riches.
Les « idées » de ces très riches ne sont que des « bon coups » bien juteux qui vont leur rapporter un maximum.
Comprenons bien ! Pour eux, le dérèglement climatique qui menace la survie sur Terre, ils s’en fichent … sauf, sauf s’ils trouvent là une idée à exploiter pour s’enrichir davantage.

Pour en revenir à Victor, il est toujours vivant. Il a une bonne tête inspirant confiance. Il est président de la Chérifienne une sorte de holding marocaine chapeautant les marques Volkwagen, Bentley, … Il est aussi grand mécène et amateur d’art selon ce doc ...

Edité le:14/05/2022