Que l’on écoute les radios, les émissions télé, les journaux, force est de constater que chaque jour ces médias développent les mêmes sujets prélevés, le plus souvent auprès de la même agence d’information AFP
A quoi bon avoir une pluralité de médias si ceux-ci traitent prioritairement les mêmes grands sujets ? De plus ces sujets sont souvent de niveau national ou international ce qui revient à minimiser voire à masquer des sujets de niveau plus local.
Les sujets ou faits relatés par ces grands médias changent constamment ; l’accent est mis un jour ou deux sur l’un de ces sujets puis on passe derechef au suivant, oubliant déjà le précédent !
Tout se passe donc comme si nous étions, en réalité, particulièrement désinformés des réalités qui préoccupent la plupart d’entre nous. En effet, ce qui se passe à Paris ou dans le monde est très éloigné de nos besoins d’information locale et actuelle. De plus nous aimerions que les informations reçues sur un sujet sensible pour nous, soient maintenues et actualisées sur la durée, ce qui n’est pas le cas.
Au mieux ou au pire ?, relève-t-on la propagande pour la vaccination, pour la voiture électrique, etc …, des sujets soutenus par le pouvoir en place et les puissants de ce monde.
Au final, nous pouvons dire que nous sommes désinformés par la plupart des grands médias.

Comment remédier à cette désinformation notoire ?

D’abord, il faudrait remettre en place et donner plus de moyens à des structures d’information locale. Des gazettes, des radios locales, plus rarement des diffusions télévisées locales existent mais leur audience est faible car elles sont phagocytées par les grands médias et leur propagande.
Exemple : France Inter première radio en termes d’audience
Comme si, cette performance à l’audimat était une référence évidente !

Ensuite, et c’est largement le cas, glaner des informations sur les réseaux sociaux. Certes on y trouve de tout dont des informations mensongères mais c’est bien le seul moyen actuel de trouver des informations différentes voire plus pertinentes et plus suivies que celles des grands médias.
Notons que ces derniers craignent les réseaux sociaux et critiquent largement les fake news qu’on peut y trouver !

Enfin, nous ne sommes pas des enfants ou des moutons qu’il faut mettre en garde ou guider dans la vie ; nous sommes des adultes dotés d’entendement et capables de comprendre les informations reçues, du moins si celles-ci ne sont pas du lavage de cerveau. C’est donc à nous d’aller chercher la pluralité d’informations par plus de localisation et par plus de sources d’informations variées y compris les nôtres; c’est à nous de reléguer les grands médias quitte à les priver d’audience et à les faire couler financièrement !
C’est à ce prix que nous seront sans doute moins inondé d’informations phares, mais bien mieux informés des choses qui nous concernent réellement ou personnellement.