Santé publique France ne connaît plus que la vaccination !
C’est le remède universel pour éviter tout encombrement des services de soins !
Qu’importe si son efficacité est parfois douteuse ou que ses effets secondaires sont loin d’être négligeables !
Qu’importe si la balance Protection/Risque est nulle voire négative !
Braves gens, qui n’y connaissaient rien et qu’on abêtit de slogans et/ou d’émissions gnangnan, écoutez donc le chaman Santé publique France :
" En dehors de la vaccination pour tous même nos plus petits, point de salut ! "
Clairement, il s’agit d’une propagande généralisée qui date un peu (mars 2023), d’un bourrage de cranes des jeunes parents !
Les derniers vaccins en date s’appellent Rotarix et RotaTeq. Ils sont censés protéger les bébés des gastro-entérites déclenchées par les rotavirus. Si j’osais, je dirais qu’on tourne en rond … mais dans l’intérêt, non pas de l’enfant mais des laboratoires pharmaceutiques !
En effet, il est normal que les enfants attrapent des gastro-entérites; c’est leur intestin, c’est leur microbiote qui se constitue et qui sera utile toute leur vie; la grande majorité des gastro-entérites sont bénignes. Le risque plus rare de déshydratation suite à cette gastro-entérite se soigne très bien et le recours à l’hôpital pour les cas les plus graves est encore plus rare.
A l’inverse, les rotavaccins ont des effets secondaires indésirables la plupart bénins, quoique (fièvre, vomissements) mais d’autres plus graves comme le blocage de l’intestin nécessitant une consultation rapide du médecin, voire une hospitalisation.
De plus ces rotavaccins contrarient donc la construction du microbiote de nos enfants.
Loin d’être nécessaires, ces vaccins doivent être rejetés par les parents !
Faites circuler l’information pour lutter contre la propagande des lobbies pharmaceutiques.
Si les antibiotiques ce n'est pas automatique, les vaccins non plus !
Dernière info de ce 16 août 2023
Les hôpitaux de la région Ile de France manquent de personnel capable de soigner les broncholites des bébés; l'un d'eux a donc été expédié dans un hôpital de Rouen au grand dam de ses parents !
Pour remédier à cette pénurie de personnel, les décideurs de ce qui reste de la santé publique ont une idée: piquer les nourissons avec une dose d'anticorps contre la bronchiolite ! Comme les médecins sont absents en période de vacances, cette piqûre pourrait être effectuée par les pharmaciens, qui contrairement aux médecins doivent respecter une clause de régulation au mieux sur tout le territoire.
Mais introduire artificiellement une dose d'anticorps efficace durant quelques semaines seulement est-ce bon pour l'enfant ? Les cas graves de bronchiolite exigeant une hôspitalisation d'urgence sont rares. Le développement de la réponse immunitaire naturelle du bébé aux infections telle que la bronchiolite n'est-elle pas préférable pour l'avenir de l'enfant ?
Une fois encore, il est vraisemblable que le lobby de l'industrie pharmaceutique soit à la manoeuvre et que le gouvernement et les diverses institutions de santé publique laissent faire ! Peu à peu, les économies de charges de personnel public sont en train de privatiser la médecine. Les beaux principes de la Sécurité Sociale édifiés en 1945 sont bafoués !
Qu'attendons nous pour nous révolter et reconstruire un Etat solidaire et démocratique ?
Edité le:16/08/2023